Pré-requis : l'envie et la volonté d'aller à votre rencontre !
L'intention est de s'accepter et commencer par s'aimer : se connaître vraiment et dans sa totalité, même son côté « pas beau ».
Faire le tri dans ses croyances et certitudes.
On hérite de valeurs, nous correspondent-elles vraiment ?
Par exemple le jugement : D'où vient-il ? Que nous apporte-t-il ? Dans quelle énergie nous met-il ?
Ainsi, de génération en génération, on se transmet quelques « casseroles », par une manière de faire dont on n'arrive pas à se délier, type « ça c'est bien, ça c'est pas bien ». On exclut, on s'exclut.
Nous prenons parfois bien des détours pour sortir de la torpeur, pour se réveiller . Croyants dur comme fer que tout est bien à sa place, que nous sommes sur le chemin de l'évolution et pourtant...l'essentiel n'a pas été effleuré.
Et mon « côté pas beau » ? Qu'est que je mets de côté en moi ? Dans quel état ça me met ?
Comment je m'arrange avec mon « côté pas beau », celui où je ne m'aime pas ? Quel place prend-il dans ma vie ?
C'est comme un R'éveil, un jour, il y a un déclic pour faire un pas vers soi.
J'accompagne ces pas :
Arrêter de se mentir, d'être aveugle, en faisant comme si, en s'arrangeant avec soi.
Partir à sa découverte, voir ce qu'il y a au-delà, ce qui se cache avec le « pas beau »,
Quel est son origine ?
Que veut-il protéger en nous ?
Comment transformer ces découvertes pour s'agrandir ?
Transformer son « pas beau » en richesse de vie pour découvrir et devenir Qui on est Vraiment.
Renaître à son essence
« Ni Juge, ni Ment.
Découvrir ton pas beau,
Rendra ton merveilleux moins sot. »
Extrait livre ChaBoteur, ta face cachée - Pascale Lecoq
Pour moi, travailler avec Pascale, c’est comme d’être devant un immense escalier : on a envie de le gravir mais on appréhende chaque étape. Les marches de cet escalier ne sont pas toutes régulières ; il y en a parfois des petites, parfois des plus hautes. Parfois aussi la texture de ces marches diffère ; de temps à autre douce, de temps à autre rugueuse. De sorte qu’à chaque fois, c’est une découverte et une nouvelle expérience. bien sûr, il m’arrive de ne pas avoir envie d’avancer plus haut vers le sommet de cet escalier, alors je m’assieds sur une de ces marches et je contemple ce qui a déjà été gravi avant de me remettre à monter cet escalier. Je ne pense pas qu’il y a une fin à mon escalier, par contre, grâce à Pascale, j’avance plus aisément sur chacune de ces marches, grâce aux différents outils, je peux maintenant agir ou réagir de façon plus appropriée face aux situations. Et quand il y a une nouvelle expérience, une nouvelle sorte de marche à franchir, je l’envisage comme un jeu plutôt que comme une aventure impossible.
J’apprends à voir cet « escalier de vie » marche après marche… un pas à la « foi »…
J’apprécie tout particulièrement le travail que je fais depuis 2 ans avec Pascale. Sa franchise, sa bienveillance, son attention et sa facilité à aller à l’essentiel sont véritablement très précieux. Sans oublier sa grande disponibilité. Nos échanges sont un vrai plaisir!
On a l’impression de le voir, de voir un personne qui nous tient tête, de remarquer quand nous sommes sous l’emprise du ChaBoteur ou quand nous sommes vraiment libres, et donc, de commencer à travailler sur notre changement. Cette découverte m’a apporté de la joie au début, et du désespoir ensuite et de nouveau de la joie. Car, ça fait mal de savoir que quelque chose nous empêche d’être libre presque tout le temps. Mais ça m’a donné plus de possibilités, ça m’a détaché des événements, ça amène la curiosité sur les expériences.
C’est comme une entité Dictateur qui règne à l’intérieur de moi. Il s’auto-alimente, s’auto-nourrit et a pris les commandes. Sa puissance m’a interpellée, sa malignité, son omnipuissance, sa force à résister à la mise à nu. Cette voix me semble plausible, claire et logique parce que tout simplement elle est sacrement habituelle et connue, familière et rassurante. Cette mise en évidence a aussi ouvert la porte du possible. Il est possible de prendre la main, de négocier une mise en repos, une mise sous silence. Cela ouvre la porte de la liberté à plus de mouvement de vie, plus de fluidité.
Rencontrer vraiment Pascale – et me rencontrer grâce à elle – a été un long cheminement. Il a fallu que l’armure se fissure et qu’elle me pousse dans mes retranchements : lors d’un déjeuner avec elle, en un mot, j’ai compris que c’était ma dernière chance de m’en sortir. Vivante. Ce n’est pas qu’elle m’a bousculée. Non, ce n’était pas violent ou brutal. C’était radical ! Elle est allée à l’essentiel – comme elle sait si bien le faire – et elle a bien fait. J’étais morte déjà.
Alors je suis (re)venue à la vie tout doucement en un an, un an et demi auprès d’elle : je suis finalement née en 2012 ! Ça m’a demandé beaucoup de courage de voir vraiment en moi, ça a tout changé autour de moi aussi mais ça en vaut tellement la peine ! Je SUIS VIVANTE.
C’est difficile de mettre des mots sur son accompagnement, c’est une sorte de GPS qui sait lui où il va tandis que vous suivez pas à pas, rue après rue le chemin… il y a eu l’accompagnement en tandem puis le travail en groupe, si riche, si intense. Au-delà de notre amitié née le long du chemin, j’éprouve toujours le besoin d’une petite « révision des 40 000 km ». Alors une ou deux fois par an, elle redevient ma coach. Je mesure le chemin parcouru mais, avec beaucoup d’humilité, je sais qu’il est encore long… C’est le travail d’une vie, d’être soi. Merci Pascale, pour tout.